PHILOSOPHY FOR THE 21st CENTURY: LES DEUX AUTRES LEÇONS DE LA TUERIE DE TOULOUSE
Être français, suisse ou japonais n'est pas qu'une seule définition civique territoriale. Le tueur était né en France. Malgré cela, il ne se sentait pas français à tel point qu'il voulait punir son pays pour l'intervention de ce dernier en Afghanistan. Deuxième leçon: la langue ne sera jamais dans le monde actuel une facteur d'identitfication plus fort que l'appartenance ethnique, raciale ou religieuse. Le tueur parlait très bien français. Il ne se sentait pas français pour autant. Sa première appartenance était religieuse d'abord puis «ethnique» au sens large de par son désir de venger les enfants arabes comme lui, mais qui eux se trouvent en Palestine.
0 Comments:
Post a Comment
Subscribe to Post Comments [Atom]
<< Home